Mot de départ de nos salariés

Deux de nos employés, Isabelle Kurek et Pierre-Jean Fichet, arrivent au terme de leur mission à la fédération.

Isabelle, assistante fédérale depuis 2011 va partir en retraite. Parmi ses missions, elle portait la mission « Service civique ». Au total, elle aura accueillie 74 jeunes qui ont été mis à disposition des centres du réseau. Nous sommes toujours en lien avec grand nombre d’entre eux ! 
Pierre-Jean, chef de projet  fédéral, termine également sa mission. Rédacteur hors pair des brèves, coordinateur des Banquets Citoyens, organisateurs de formations pour les animateurs des CLAS, Pierre-Jean a ainsi pu conduire plusieurs missions au sein de la Fédération. 

Les bénévoles et salariés du réseau saluent ces deux salariés pour leur engagement.   

 

Isabelle Kurek

Travailler à la fédération des centres sociaux a toujours été à mes yeux plus qu’une profession, et relève d’un engagement pour la société. Le métier d’assistante fédérale permet d’être en lien avec des personnes de tous horizons. Les relations tissées avec les salariés, les bénévoles, les jeunes ont nourries mon quotidien, et j’étais heureuse de voir les actions mises en place par le réseau. Mes onze années de travail à la fédération ont été riches d’enseignements : J’ai beaucoup appris sur la nature humaine, et j’ai appris à voir, au-delà du caractère des personnes, ce qui les anime véritablement. J’ai maintenant envie d’écrire, et mon projet sera l’écriture.

 

Pierre-Jean Fichet

Mon arrivée à la fédération relève d’une suite d’événements inattendus, et les quelques mois que duraient mes missions furent particulièrement riches pour moi aussi. J’aime beaucoup analyser le fonctionnement des institutions, voir comment celles-ci respirent, et comprendre comment les êtres humains y prennent place, s’y épanouissent, ou au contraire, ne parviennent pas à s’y exprimer. La fédération, et dans une certaine mesure les centres sociaux m’ont offerts en ce sens un terrain d’observation exemplaire, où les difficultés structurelles, le poids des habitudes, les espoirs individuels et collectifs, le désir d’expérimenter, et l’anticipation des enjeux futurs, s’entremêlent joyeusement. J’ai aussi pu trouver ici et là quelques occasions de mettre en œuvre des compétences qui me sont chères, et vu nos projets progresser et notre reconnaissance s’accroître sur les domaines dont j’étais responsable, ce qui a nourri en moi le sentiment que ma présence à la fédération pouvait faire sens collectivement.

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